Il suffirait de...
Il a fait sonner le réveil de son gsm à plusieurs reprises ce matin avant de se décider à quitter le lit. Il faut dire que nous avions à peine dormit 4-5 h et dans quelles conditions ! Mais à qui la faute?? ? J’ai cru qu’il allais partir sans me parler. Mais il est venu sur le lit, peché au-dessus de moi, il as déposé un baiser sur ma joue. Il est resté immobile au-dessus de moi un moment. Je lui ai souhaité de passer une bonne journée. Il s’est à nouveau peché sur moi pour m’embrasser furtivement àavant de me laisser seule face à moi-même.
J’ai attendu quelques minutes puis je me suis levée et me suis rendue à la fenêtre du bureau.
J’ai attendu, guettant le moindre bruit pour savoir si il étais toujours dans la maison. Puis je l’ai apercu… Je me suis demandé si il allais se retourner, si il allais sentir mon regard sur lui… je revoit la scène au ralentis. IL s’est retournée et ma regarder à travers la fenêtre. On s’est regardé tous les deux, les yeux pleins de remords. Jene savais pas quoi faire. Il as levé le bars pour me faire aurevoir et j’en ai fait autant.
Je suis descendue a la cuisine récupérer mon gsm que j’avais déposé discrètement sur le meuble; pas de sms.
Je me suis recouchée, espérant qu’il râte son train et qu’il vient me rejoindre au lit tout confondus en escuse.
10minutes après est arrivé un message de lui:
" En me retournant, j’espérais te voir et sentais que tu étais là à me regarder partir. Je souffre de te voir si mal mais cela tu ne sembles pas le voir. Je m’en vais triste et épuisé."
Je sait pas si je vais avoir le courage d'écrire d’avantage ce soir !
J’ai passé une bonne partie de mon après-midi à esayer de trouver les mots justes pour écrire à Ced.
Ce matin, il m’as appelé à plusieurs reprises, ne comprenant sans doute pas pourquoi je ne répondais pas. Il as tellement insisté que j’ai fini par décrocher. J’avais rien à lui dire, je ne voulais rien entendre par téléphone, ce serait trop difficile de le savoir loin de moi.
Je pensais que cela nous ferais du bien de ne pas nous parler pendant ne fut-ce qu’une journée.
On aurais jamais du se voir hier!
Si j’avais su ce qui nous attendais, j’aurais préféré ne pas le voir.
La discution n’as pas vraiment étée constructive. Il ne m’as pas dit les mots que j’attendais… Il voudrais que je lui écrive.
C'étais mon intention. Mais je ne sentais pas la tâche facile.
Parfois je me demande si il ne me pousse pas à ce genre de situation pour avoir des raisons de ne pas venir s’intaller avec moi!
"Je suis invivable!!!" lol
Sur le temps de midi, on s’est croisé sur le net… Presque comme si de rien… Il m’as proposé de passer le wk chez ces parents. Je lui ai demandé si c'étais vraiment ce qu’il voulait...
je ne me sent pas capable de passer tout un wk chez eux. Pas dans de telles conditions.
Je lui ai envoyé une longue lettre de 4 pages aux alentours de 17h. J’ai toujours pas de nouvelles, je ne sait mêm pas si il l’as parcourue.
Je doute de l’effet positif de cette confidence.
C’est vrai qu’en temps normal j’ai recours à l'écriture quand je rencontre des difficultés avec mon compagnon du moment. Et en général, je suis fière de moi, satsifaite du résultât et ne doutant pas du poinds que peut avoir cet écrit.
Mais cette fois, c’est différent. J’ai du parler de moi. Me mettre à nu, même si je n’ai pas l’impression de lui avoir divulguer des choses qu’il ne savaient pas encore. J’ai peur de l’impacte de ce mail, j’ai surtout peur qu’il n’en ai aucun ! Je ne savais pas quoi lui dire, que lui aprrendre de nouveau, je ne lui cache rien, et rien ne met apparut sous un nouveau jour en rédigant mon courrier. Mais c’est fait, je l’ai envoyé et si il ne l’as pas encore lue, cela ne vas pas tarder. Pas de retour en arrière possible...Inutile de toute façon.
19h48, je viens de m’apercevoir qu’il m’as envoyé un sms.
" Je te vois cette nuit sur le net?"
J’en sait rien...
Je ne sait pas si je vais tenir physiquement le coup ce soir...
Je risque d’aller dormir avant qu’il n’ai fini leurs thérapies de groupe.
Il vas m’en vouloir!
Je lui en veux… Je ne sait pas pourquoi !