Quel route prendre?
Je repousse le moment de l’appeler.
Je suis réveillée depuis peu et écoute le moindr bruit… peut-être ne vas-t’il pas tarder. Il n’as pas su me dire quand il arriverait.
Je me décide à l’appeler.
Il est toujours à bxl, à répondre aux questionnaires de sa collègue. Il n’est donc pas prêt d’arriver.
Il m’apprends que finalment il as parlé de ous son psy, ils n’ont d’ailleurs fait que cela. Il étais un peu perdu à sa sortie, mais maintenant ca va mieux. Il veux qu’on parle et me propose d’aller manger un petit bout en ville.
Je me lève à mon aise, prends le temps de déjeuner, de consulter mes e-mails,...
Une bonne heure plustard, je le rappel.
Il est en chemin pour la gare. Je suis nerveuse, je le sent mal. J’ai peur que sont étât d’esprit n’ai changé depuis hier…
Il est 13h40 passée lorsque j’arrive à la gare.
Je suis un peu perdue… Sur mes gardes.
A un tel point, que moi à qui rien n'échappe d’habitude, je ne le voit même pas à travers les autres passagers qui empruntent l’escalator. Je suis presque étonnée lorsqu’il se présent à moi.
Le temps suspends son court.
Il as l’air aussi perdu et aussi triste que moi...
Il me serre fort contre lui , un long, un très long moment. Je glisse mon visage au creux de son cou pour retrouver cette odeur si rassurante… l’odeur rassurante de l’homme que j’aime.
Les gens autour de nous doivent nous observer, je me demande ce qu’ils peuvent penser d’une telle scène!.
Main dans la main, nous partons affronter ensemble le monde réel.
De commun accord nous décidons d’aller manger une crêpes. A peine sommes nous installer que je vois ces yeux rougis, les larmes aux bords des yeux. Il s’escuse. Me confie qu’il regrette son comportement, qu’il as voulu se protéger car cela le touchais trop. je suis touchée, je ne m’attendais pas à des escuses, je n’en voulais pas ! Mais avec du recul, je suis vraiment très touchée qu’il m’en ai fait.
Il me parle de son entretine thérapeutique, que son psy lui as conseillé de vivre ces émtions, de ne plus ériger un mur devant ces sentiments… Rien d’autres ne sort…
En sortant du restaurant je lui ai demandé ce qu’il voulait faire, si il voulait que l’on continue notre discution autour d’un verre dans un endroit calme. Il m’as attiré à lui et m’as murmuré aux creux de l’oreille qu’il n’avais plus qu’une seule chose à me dire : qu’il m' AIMAIT.
Je crois que j’attendais plus...
Peut-être que ca viendras.
On s’est balladé un peu en ville, et il as tout mit en oeuvre pour m’empêcher de faire encore des achats superflus.
Finalement on est rentré à la maison.
Et on as pas tarder à se réconcilier sous la couette. On as partager un moment comme on en avais encore jamais partagé jusque là. C'étais quelque chose de spécial. De très fort. Il m’as fait approché de très prêt quelque chose d’encore inconnu de moi. J’avais très envie de lui… Je l’ai regardé s’endormir nu sur mon lit, il étais si beau que j’aurais voulu immortaliser ce moment.
Je l’ai laissé dormir pendant une bonne heure.
Il avais beaucoup de sommeil à récupérer. Pendant ce temps j’ai préparé le souper (une pierrade)