Rêve et Yon
Se préparer à passer la dernière nuit de l’année
Espoirs
Résolutions
Grâce matinée :
- mettre toute les chances de son côté afin d'être en forme toute la nuit
- faire passer la journée le plus rapidement possible
Les préparatifs : douche, soin du corps, schampoing colorant, maquillage de circonstance, coiffure par les mains expèrtes de ma moone (des anglaises pour donner du volumes), revêtir des tout nouveau vêtements achetés spécialement pour l’occasion…
Résultâts : irrésistible
Quel plaisir de se sentir autant mise en valeur après des mois à ne plus avoir osé se regarder dans un miroir de peur de s’effrayer soit même.
15h :
C. m’appel pour m’avertir qu’il est fin prêt avoir passé toute la matinée à stresser pour choisir sa tenue pour l’occasion. Il ne vas pas tarder à ce mettre en route, il a un bus et deux trains à prendre pour me rjoindre à namur où nous devions nous retrouver. Je n’avais pas réalsier qu’il vais deux heures de trajet ! Partir de chez lui autant d’heures avant ca me dépasse ! Il est trop !! !
Je le rappel alors qu’il se rends à l’arrêt de bus. Après avoir regardé une carte, je lui poropose de passer le prendre chez lui, c’est sur le chemin pour ce rendre à Feluy ! Rendez-vous est fixé à 17h30.
N’ayant pas eu de nouveaux malaises de la journée, c’est confiante que je m’installe au volant de ma petite toto. Je suis déjà en retard ! Ca prend du temps de se mettre sur son 31 !
Je suis à peine sur l’autoroute que la tête me tourne. Que faire ?
Faire demi-tour et annuler ma soirée ? M’arrêter sur une aire de l’autoroute ? Appeler mes parents ? Pas question ! Je ne veux pas râter cette nuit, pour rien au monde, je ne sait pas pourquoi, mais c’est ainsi que je le ressent. Je continue ma route, le plus prudemment possible. La tête me tourne à nouveau. Je sort de l’autoroute dès que je peux. Je profite de faire le plein d’essence pour me raisonner et me rassurer… tout vas bien aller.
J’appel Gauthier, l’organisateur de la soirée pour le prévenir de notre retard et me remet en route.
Il est 18h30 lorsque j’arrive enfin sur le parking où je dois retrouver C.
Rencontre. Il est assez semblable à l’idée que je m'étais faite de lui. On se regarde, on se découvre, … en life.
Je suis rassurée de faire le reste de la route en sa compagnie. Je me détends
Le verbe nous est facile, les mots viennent, s'échangent, se comprennent…
On se demande ce que nous réserve cette soirée, qu’allons nous devoir faire… On as si peu de rensignements finalement,… mais ca n’as pas d’importance… on est ensemble…
19h- 23h59:
On arrive enfin au Château.
On étais attendu avec impatience. Surtout que malgré notre retard, nous sommes les premiers arrivés parmis les gens qui doivent assurer le service. On se met immédiatement à la tâche.
Derniers prépartifs avant l’arrivée des premiers invités. On commence le service par l’apéritif, et puis dans le courant de la soirée on s’adonne à des tâches diverses suivant le besoin (service aux tables, vaisselles, rangement,…). C. et moi on vâque à nos occupations, lui il fait principalement la vaisselle (il préfère rester dans son peit coin) et moi je fais des allés et retour entre la salle à l'étage et la cuisine. Nos regards se croise, des mots s'échanges… une complicité certaine s’installe.
J’assure pas trop mal mais je sent la fatigue pas très loin. J’ai prévenu mes parents de mon trajet difficile, j’aimerais qu’ils viennent nous récupérer, je sait que cela perturberas le réveillon, mais j’ai peur de reprendre la route. C. s’en apreçoit. Contre mon accord il appel ces parents pour les avertir qu’il me ramèneras chez lui, que je ne suis pas très bien et qu’il ne veux pas me laisser faire la route toute seule… Je suis touchée par son initiative (j’ai eu tord de lui dire un jour que j’aimais les hômmes qui prennent des décisions !) mais je suis un peu mal à l’aise. J’ai pas l’habitude de déloger chez des persques inconnus et encore moinds quand ils vivent chez leurs parents !! !
Note : l’organisation de la soirée et principalement du repas est très mauvaise. Résultât les gens sont mécontent, ils réclament, le ton monte… Les organisateurs font fasent comme ils peuvent. Il propose de rembourser une partie de la soirée (principalement le repas, puisque tout le mobde n’as pas pu manger à sa faim). Le calme revient. C. et moi on essaye de ne pas trop s’impliquer, on as rien avoir avec cette situation.
Les 12 coups de minuit:
Je rejoint mon pauvre C. qui reste enfermé dans sa cuisine.
Il n’y a pas de guy pour s’embrasser en-dessous et nous souhaiter tout ce qu’il y a de meilleure pour l’an neuf, mais le cœur y es. C’est le seul à qui je souhaite mes vœux (à art mes parents que j’appelareai par la suite).
Je nous ramène un morceaux de gâteau que j’ai pu sauver avant qu’il n’y en ai plus.
Il est touché par mon attention. On et tout les deux seul au monde, les autres on disparut de notre espace temps…
Un geste innocent, presque inapercu…un frolement…son bras qui ensert ma taille, une fraction de seconde, le temps de réaliser ce qu’il fait… je ne dis rien…je sent encore son bras contre moi…ca me plaît… Je vis le moment présent sans me poser de questions…
01h30 :
On fait une pause.
On se met un peu à l‘écart du reste de l’animation ambiante.
On se retrouve en tête à tête.
Je me pose à peine que je commence une crise.
Je suis super mal. C. est au petit soin avec moi. Il a la meilleure attitude face à une telle circonstance. Il me rassure, il me parle, il me cajole…ses mains posés sur mes genoux.
Il préviens Gauthier que je ne vais pas bien, ce dernier dit qu’il n’y a pas de problème et qu’on peut partir si on veux. Mais j’en suis incapable, la crise dure plus d’une heure… je n’en vois pas la fin…Comment vas t’on rentrer ?
Les parents veulent bien venir nous chercher. C. s’est renseigné pour trouver le numéro des Ressponsable Young Drivers (je l’avais moi, mais il ne le savais pas). On essaye de les joindre, en vain, réseaux saturé. Quelles soulagement qu’il soit à mes côtés. Je prends ces mains entres les miennes, je me blottis contre lui.
04h30 :
Je reprends pieds, confiance…et je décide de reprendre le volant moi-même.
C. me fait la conversation durant les 15 minutes qui nous séparent de chez lui. Nous arrivons à bon port, le gros de la crise est derrière. Je rassure mes parents.
Me voilà chez lui à 05h du mat.
Incongru !
Mais sacrément original.
Tour du propriétaire sur la pointe des pieds pour ne pas réveiller ces parents.
Sa mère à préparé les draps pour changer le lit de la chambre d’amis.
Comme je ne dort plus sans lumière depuis deux semaines, il allume des bougies. Il n’est qu’attentions ! On discute, on échange nos premiers baisers. On se cajole mutuelement
Il est 06h30 lorsqu’enfin le sommeil l’emporte. Heure à laquelle son père se lève… et dire que dans quelques heures je vais devoir me retrouver face à ces parents ! J’ai tellement peu l’habitude de ce genre de situation !! ! On s’endort main dans la main, corps contre corps…il veille sur moi d’un œil.
On est le 01 janvier 2004 et je dors dans la
maison d’un jeune homme pleins de promesses