J’arrives pas à canalyser mes pensées.
J’arrives pas à l’oublier.
( V. Passé Simple, à venir...pas encore écrit).

"Plus j’y pense et moins j’oublie".
Je ne suis pas encore capable d’oublier.
Le serais-je un jour?
Je revis sans cesse notre première rencontre, et ce bonheur d’intimité intense presque mystérieux que nous avons partagé ce fameux vendredi; dernier jour où je l’ai vu.
Je ne peux, ne veux pas me faire à l’idée que tout cela n'étais rien.
Qu’il n’y avait pas une petite étincelle entre nous qui à enflammé nos vies.
J’arrives pas à le faire sortir hors de moi.

Je l’ai appelé tout à l’heure, ...deux fois...
Il n’as pas répondu…
A quoi pense t’il dans ces moments là?
Est-il énervé parce que je ne le laisse pas tranquille ou as t’il ce petit pincement au coeur, et cette phrase dans sa tête : "non je ne dois pas,...ne pas céder...".
Ce serait tellement plus simple si je le savais.
Je n’oserai même pas le lui demander.
Je serais encore capable de ne pas croire sa réponse et me dire, "il as dit ca par facilitée...il n’as pas le courage de se battre".

Que dois-je faire ?
Quelle est la meilleure manière de manoeuvrer pour lui donner l’envie ou le courage de revenir ?
J’ai sans cesse peur de faire mal, de faire l’inverse de ce que je devrais faire alors j’essaye de mesurer. A certains moment j'écoute ma raison à d’autres mon coeur, un peu des deux. J’ai tellement besoin de lui, et il le sait.

Hier soir finalement j’ai rejoint Vanes, l’ex de mon meilleur ami, en ville pour boire un verre en compagnie de ces amis. Deux filles pour six garçons. Malheureusement aucuns n'étaient à mon goût mais j’ai passé une soirée distrayante. Beaucoup plus agréable que si j'étais restée seule à la maison.
J’ai reçu un sms de Y. à passé 23h, il s'étais endormit, il s’escusait de m’avoir lachement abandonné sur le net. On n’est pas sortis, on en avais envie, mais ils ne sont jamais mit d’accord sur le choix du lieux. Résultât, on est tous rentré chez nous. J'étais au lit vers 01h20.

Aujourd’hui, j’ai pas bougé de la maison.
Cafardeuse en ce débût d’hiver tout gris.
J’ai dormit l’après-midi pour me remettre de ma nouvelle déception (V. n’ayant pas répondu à mon appel).
J’ai reçu l’appel journalier de Moone (ma mère), je l’aie rassurée comme j’ai pu mais elle sait que ca ne vas pas. Et comme c’est pire chaque fois que je l’ai au téléphone, j’essaye de me contrôler et de ne pas me laisser aller.

Je crois que je viens de réaliser que je ne sait toujours pas ce que c’est que l’amour.
Enfin si, de mon côté je le sait mais de celui d’un homme non. J’ai toujours l’impression de le voir transcrire à travers leurs paroles, leurs gestes, leurs petites intentions… mais ca ne doit pas être ça puisqu’il me quitte tous !