Deuxième semaine
Je débute ma deuxièeme semaine de travail.
La journée à commencé par la traditionnelle réunion d’équipe. Tour de table. J’expose ce que je ressent concernant les accueils que je dois faire tous les vendredis et samedis soirs. Je ne comprend pas bien leur bien-fondés. Le directeur m’explique qu’il rejoint mon point de vue, et que depuis déjà pas mal de temps il aimerais changer certaines choses, mais que pour le moment, c’est comme ca.
Je termine la matinée en faisant des recherches sur internet. Je suis à la recherche d’un hébergement pour partir à la mer durant les vacances de pâques avec une dizaine de jeunes.
Je reste seule au bureau durant le temps de midi. (de 12h à 14h)
Peu avant 15h, je vais assister et participer à l’Atelier théâtre des ados. Passé un bon moment en leur compagnie. Discute pas mal avec Sof qui s’occupe de l’atelier. Sympa la fille.
Vers 17h45 je suis de retour au bureau. je me sent un peu faible. Il faut dire que je n’ai pas mangé grand chose de la journée. Ayant tellement mal au genoux (apparement à nouveau une tendinite), j’en avais autant mal à l’estomac et n’aie pas pu avaler grand chose à midi.
Normalement, je terminais ma journée à 19h. Mais mon directeur à fixé une réunion avec les jeunes à 19h30 pour parler du projet du séjour à la mer. Me voilà caler, car c’est moi qui doit la menée. Je discute avec un petit groupe de jeunes en attendant l’heure de la réunion.
Une fois que tout le monde est arrivés (ou presque, on attends pas bien longtemps les retardataires), on fait le point sur le projet. Je sort de la réunion avec l’impression rassurante que ce boulot vas bien me plaire…
Il est presque 21h lorsque je rentre enfin à la maison. J’avais demandé à Ced d’acheter des frittes pour faire avec le vol-au-vent, et j’espèrais qu’il serait derrière les fourneaux à mon retour. Mais au contraire, je l’ai retrouvé derrière son écra d’ordinateur et il m’accueillas en m’annoncant qu’il avais plein de travail et qu’il ne savais pas à qu’elle heure il pourrais aller se coucher ce soir. (Il s’y prend tjrs à la dernière minute)
Charmant. Moi qui m’attendais à un tout autre accueil. En plus, durant toute la journée, je n’ai fait qu’entendre que c’étais la journée de la femme, et du coup je mettais imaginé que mon Ced serait toute attention pour moi durant la soirée. Pfffffff
J’étais fatiguée et j’avais trop faim. J’ai rien dit et je suis gentiment allée préparer le souper. Il ne changera jamais, faut que je m’y fasse.